Conseil des Ministres ivoirien ce 30 juillet 2025 © Crédit photo DR
Le président Alassane Ouattara réunit son gouvernement au lendemain de l'annonce de sa candidature pour un quatrième mandat présidentiel. Une séance qui s'annonce particulièrement suivie dans le contexte électoral tendu.
Cette réunion hebdomadaire habituelle prend une dimension particulière après les réactions contrastées suscitées par la déclaration présidentielle de mardi. Alors que l'opposition crie à l'illégalité constitutionnelle, le camp présidentiel resserre les rangs autour de son leader.
Cette réunion hebdomadaire habituelle prend une dimension particulière après les réactions contrastées suscitées par la déclaration présidentielle de mardi. Alors que l'opposition crie à l'illégalité constitutionnelle, le camp présidentiel resserre les rangs autour de son leader.
Un ordre du jour chargé attendu
L'ordre du jour de ce Conseil des Ministres n'a pas encore été dévoilé officiellement. Toutefois, plusieurs dossiers urgents figurent sur la table du gouvernement : la préparation de l'élection présidentielle du 25 octobre 2025, les questions sécuritaires évoquées par le président, et les projets de développement en cours.
Les ministres devraient également aborder la situation économique du pays, particulièrement sensible à trois mois du scrutin. Les défis énumérés par Ouattara - menace terroriste, incertitudes économiques internationales - nécessitent des réponses concrètes de l'exécutif.
Cette séance gouvernementale intervient dans un climat politique électrique, avec les premières réactions de soutien des cadres RHDP comme Albert Mabri, et les critiques virulentes de l'opposition menée par Affi N'Guessan et Guillaume Soro.
Les ministres devraient également aborder la situation économique du pays, particulièrement sensible à trois mois du scrutin. Les défis énumérés par Ouattara - menace terroriste, incertitudes économiques internationales - nécessitent des réponses concrètes de l'exécutif.
Cette séance gouvernementale intervient dans un climat politique électrique, avec les premières réactions de soutien des cadres RHDP comme Albert Mabri, et les critiques virulentes de l'opposition menée par Affi N'Guessan et Guillaume Soro.
