Ernest Christophe Allouan, 22 ans, est mort lundi 13 octobre en fin de journée au CHU de Treichville. Le jeune homme avait été évacué depuis Bonoua après avoir reçu une balle à la mâchoire dans le quartier Begneri. La Direction Générale de la Police Nationale a confirmé le décès ce mardi 14 octobre dans un communiqué signé par le commissaire divisionnaire Koffi Djadji Kan, porte-parole de l'institution.
Selon les premières informations transmises par les autorités, la victime se trouvait dans le quartier Begneri quand des individus circulant à bord d'un 4x4 ont ouvert le feu. Le projectile a atteint le jeune homme au visage. Transporté d'urgence vers la capitale économique, il n'a pas survécu à ses blessures malgré les soins prodigués à l'hôpital. Les tireurs, non identifiés à ce stade, ont pris la fuite après les faits.
Selon les premières informations transmises par les autorités, la victime se trouvait dans le quartier Begneri quand des individus circulant à bord d'un 4x4 ont ouvert le feu. Le projectile a atteint le jeune homme au visage. Transporté d'urgence vers la capitale économique, il n'a pas survécu à ses blessures malgré les soins prodigués à l'hôpital. Les tireurs, non identifiés à ce stade, ont pris la fuite après les faits.
Une enquête
Sur instruction du parquet compétent, une enquête a été immédiatement lancée et confiée à la Direction de la Police Criminelle. « Toutes les dispositions sont prises pour que les auteurs de cet acte soient interpellés et traduits devant la justice », assure le communiqué officiel. La Police Scientifique a été mobilisée pour « faire toute la lumière sur les circonstances de ce drame et identifier les auteurs ».
Les investigations se concentrent sur l'identification des occupants du véhicule 4x4 et sur les motivations du tir. Le quartier Begneri, où s'est déroulé le drame, fait l'objet de vérifications approfondies. Les enquêteurs cherchent notamment à déterminer si la victime était visée personnellement ou si elle s'est retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Aucune piste n'est écartée à ce stade de l'enquête.
Les investigations se concentrent sur l'identification des occupants du véhicule 4x4 et sur les motivations du tir. Le quartier Begneri, où s'est déroulé le drame, fait l'objet de vérifications approfondies. Les enquêteurs cherchent notamment à déterminer si la victime était visée personnellement ou si elle s'est retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Aucune piste n'est écartée à ce stade de l'enquête.
Appel au calme des autorités
La Police Nationale a tenu à rassurer les populations de Bonoua et des environs. « La Police Nationale rassure les populations que toutes les dispositions sont prises », insiste le porte-parole dans son communiqué. Un message destiné à éviter toute escalade dans une zone déjà marquée par les tensions liées à la campagne présidentielle du 25 octobre.
Le commissaire divisionnaire Koffi Djadji Kan « appelle au calme, à la retenue et à la collaboration de tous pour soutenir les efforts des forces de l'ordre dans la préservation de la sécurité publique ». Un appel à témoins implicite, alors que les autorités comptent sur la population pour faire avancer l'enquête. À Bonoua, la mort d'Ernest Christophe Allouan soulève des questions sur la circulation d'armes à feu et la sécurité dans cette ville de près de 45 000 habitants, située à une cinquantaine de kilomètres au sud-est d'Abidjan.
Le commissaire divisionnaire Koffi Djadji Kan « appelle au calme, à la retenue et à la collaboration de tous pour soutenir les efforts des forces de l'ordre dans la préservation de la sécurité publique ». Un appel à témoins implicite, alors que les autorités comptent sur la population pour faire avancer l'enquête. À Bonoua, la mort d'Ernest Christophe Allouan soulève des questions sur la circulation d'armes à feu et la sécurité dans cette ville de près de 45 000 habitants, située à une cinquantaine de kilomètres au sud-est d'Abidjan.